Jusqu'à épuisement des stocks, nos prix spécial rentrée de - 15 % à 30 % sur une sélection de modèles.

Venez essayer nos instruments à Rennes. Contact : 06 84 95 13 28.

10 400 € - 30 % = 7 280 €
poids 11,0 kg
dimensions 190 × 445 mm
qualité des voix a mano Super
finition noir
chant
rangées 5
boutons 87
notes réelles 46
étendue mi/do#
voix 4
organisation des voix 16' + 8' + 8' + 4'
boîte de résonance 2 — 16' + 8'
registres 13 + M
mentonnières 4
basses standard
boutons 120
voix 5
registres 7

Cet accordéon de type international à 4 voix, dont 2 en boîte de résonance, allie beauté, compacité, finesse et puissance. Son ergonomie, la souplesse et le silence de ses claviers, n'ont d’égales que la richesse et la chaleur de ses sonorités.

En juillet 2003, lors de notre séjour en Italie, nous souhaitions mettre au point une gamme de 6 accordéons à basses chromatiques avec convertisseur. Mais Bruno Le Leuch voyant ce modèle de type international, sur une étagère dans la salle réservée aux emballages, plus compact que ceux rencontrés habituellement, a demandé s’il pouvait l’essayer. Et là, révélation ! Une sonorité et une commodité exceptionnelles aussitôt confirmées par Jean Appéré. Rentrés à notre hôtel le soir, je les entends encore me dire : « Cet accordéon est une vraie bombe… c’est de la dynamite ! Il faudrait que tu l’ajoutes aux basses chromatiques. » Dès le lendemain nous nous sommes mis au travail. Le modèle essayé la veille était en fait un des tous premiers accordéons que l’entreprise Fisart avait fabriqué aussi compact. Hauteur de caisse de 44,5 cm au lieu de 47 cm pour les instruments de type international, montés sur 2 rangées de soupapes, munis de 46 notes effectives au chant et de basses à 5 voix avec boutons rentrants. Nous avons décidé de l’équiper de 4 mentonnières, dont 1 commanderait le plein-­jeu et de transformer le master sur le côté du clavier en un rappel des 2 voix médium (une voix 8, clarinette en boîte et une autre voix 8, flûte hors-­boîte). Bruno Le Leuch a aussitôt passé commande de ce modèle qui s’appelait alors Bach H300. C’est dans l’avion du retour que nous avions baptisé cet instrument : Music’hall. Dès le Salon de la musique 2006, Ludovic Beier, musicien de renommée internationale, nous faisait l’honneur d’une visite à notre stand, afin d’essayer « ce fameux Music’hall, dont tout le monde parlait dans les allées du salon ». Il fallut attendre le début 2008 pour qu’il l’adopte. Ce modèle, au fil des années est devenu un best-seller de Fisart !